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Algérie : comment le régime étouffe la société civile ?

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Manifestations d'étudiants à Alger, le 12 mars 2019, au lendemain de l'annonce du retrait d'Abdelaziz Bouteflika. © Ryad Kramdi / AFP

Près de quatre ans après le soulèvement pacifique du Hirak, le régime algérien traque les voix contestataires, poussant de plus en plus d’opposants à l’exil. Pourquoi le vent de liberté apporté par le Hirak a-t-il peu à peu cessé de souffler en Algérie ?

Le mouvement de contestation, né en février 2019, avait pour but d’obtenir plus de démocratie et un État «civil et non militaire». Si les manifestations se sont arrêtées depuis longtemps, les intimidations et condamnations, elles, continuent de pleuvoir. Militants, journalistes, défenseurs des droits humains : tous ceux qui ont pris part au mouvement sont aujourd’hui dans le viseur de l’État.

Quelles sont les conséquences politiques et sociales de la répression ? Pourquoi le régime opte-t-il pour cette stratégie ? La situation influence-t-elle les relations entre la France et l’Algérie ?

Dans ce podcast, Madjid Zerrouky et Frédéric Bobin, journalistes au Monde, racontent les dessous de cette répression et dressent le portrait d’une Algérie étouffée.

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