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L’Afrique peut devenir un leader mondial de la croissance verte, attirer des milliards d’investissements étrangers et favoriser la transformation économique du continent. La bioéconomie peut amorcer une transformation économique et contribuer à lutter contre le déficit croissant du changement climatique en créant de nouveaux emplois, en assurant la sécurité alimentaire, en améliorant la nutrition et en renforçant la résilience environnementale sur tout le continent africain.
L’Afrique est à la croisée des chemins, bien que vulnérable face au changement climatique, le continent est doté d’une riche biodiversité qui offre des possibilités significatives de relever les défis multiples. Ne produisant que 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, l’Afrique est touchée de façon disproportionnée par le changement climatique.
Au niveau de l’Afrique australe, trente millions de personnes sont confrontées aux effets d’une grave sécheresse, conséquence du phénomène météorologique El Nino, caractérisé par la hausse des températures de la mer. Ainsi, la crise climatique a fortement impacté les systèmes agroalimentaires en Afrique.
Mesures à adopter pour lutter contre le changement climatique
Les agriculteurs doivent s’adapter plus rapidement aux risques de changements climatiques. La mise en œuvre des approches de réduction des risques telles que l’irrigation, la mécanisation et l’agroforesterie. Il est aussi nécessaire d’investir dans des cultures moins sensibles aux chocs. Par exemple, les cultures telles que le maïs, le sorgho et le soja verront leur production augmenter ou subiront des pertes moins importantes en Afrique que dans le reste du monde.
Par ailleurs, la présence importante de méthane en Afrique, révélées via les données de télédétection par satellite. Les niveaux de méthane varient en fonction des étapes de la culture des produits agricoles (semis, croissance et récolte). La stratégie idoine serait d’effectuer la récolte en temps opportun.
La bioéconomie devrait être érigée politiquement au rang de priorité absolue. En créant une synergie entre les initiatives en matière de bioéconomie, l’esprit d’entreprise, les innovations dans les secteurs de la biotechnologie et le partage des connaissances au niveau international.
Enfin, la transition des combustibles fossiles et de l’énergie de la biomasse vers les énergies renouvelables durables en Afrique. Cette transition représente une stratégie primordiale pour lutter contre le changement climatique et assurer le développement durable.
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