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Le journaliste franco-marocain Rachid M’Barki, s’est exprimé sur son licenciement de BFM TV dû à des soupçons d’ingérence étrangère dans son travail. Interrogé par une commission d’enquête parlementaire, le journaliste a clamé son innocence. Il affirme être victime de «calomnie pure» et estime être la cible d’«accusations injustes».
Devant les députés, Rachid M’Barki s’est montré très offensif. Selon lui, il n’a commis aucune faute. «Il m’est reproché d’avoir failli à ma déontologie professionnelle en passant des informations non vérifiées à l’antenne et en laissant supposer que j’aurais été rémunéré pour cela. Tout cela est faux et relève de la calomnie pure», a-t-il affirmé, tout en dénonçant un «lynchage médiatique».
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Au cours de cette audition, M’Barki a assuré qu’il n’avait jamais touché d’argent pour diffuser des images qui lui étaient transmises, notamment de la part du Maroc. Car en effet, parmi les séquences qui lui ont été reprochées, figure notamment un reportage sur l’organisation d’un forum économique Maroc-Espagne à Dakhla, lors duquel il a employé le terme «Sahara marocain».
Audition de @RachidMBarki : licencié en raison de soupçons quant à une ingérence dans son travail, l'ex-journaliste de @BFMTV dénonce un "lynchage médiatique en règle" et affirme être "spectateur de [sa] mise à mort professionnelle". #DirectAN pic.twitter.com/1HCL4Y22sp
— LCP (@LCP) March 22, 2023
«Pour moi c’est une actualité et ça se déroule à Dakhla qui est une ville du Sahara», précise le journaliste, en ajoutant : «La dernière personne qui avait parlé de Sahara marocain, vous allez me dire que c’est un homme politique, je crois que c’est le chancelier autrichien. Et ça date de la semaine dernière».
L’ex-présentateur des journaux de la nuit sur BFMTV a donc clamé son innocence, en pointant du doigt l’enquête du collectif international Forbiden Stories qui le vise, assurant que sa «prétendue implication» était «une fable».
Parue mi-février dernier, cette enquête avait révélé l’existence de « Team Jorge », une agence de manipulation de masse israélienne qui est à l’origine de désinformations ayant notamment été diffusées sur BFMTV.
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