Accueil / Monde

Affaire Hakimi : Hiba Abouk sort du silence

Temps de lecture

Achraf Hakimi et Hiba Abouk © DR

Silencieuse depuis le début de l’affaire d’Achraf Hakimi, mis en examen pour viol, Hiba Abouk est sortie de son silence ce lundi 27 mars. C’est dans les colonnes du journal espagnol El Pais où l’actrice de 35 ans a décidé de s’exprimer pour la première fois.

Actuellement en instance de divorce avec Hakimi, l’Hispano-tunisienne a d’abord affirmé qu’elle avait besoin de temps pour digérer ce choc.

«Aujourd’hui, je me sens obligée de rendre cette déclaration publique pour exprimer mon état d’esprit et faire la lumière sur la désinformation qui circule. Et même quand le silence peut aider sur certains sujets ou sujets sensibles, j’ai un besoin urgent de m’expliquer, afin de pouvoir reprendre ma vie personnelle, publique et professionnelle de la manière la moins nocive et traumatisante possible, en protégeant avant tout mes enfants qui sont, comment peut-il en être autrement, ma priorité absolue», a-t-elle déclaré.

Hiba Abouk a d’ailleurs souligné qu’elle avait fait le choix de se séparer d’Achraf Hakimi, avant l’éclatement de cette affaire : «Après avoir pris la décision de se séparer légalement et de cesser de vivre ensemble, en attendant la procédure de divorce, qui aurait imaginé qu’en plus de la douleur bien connue qu’entraîne une séparation, et d’accepter le chagrin que l’échec d’un projet entraîne, un projet dans lequel je m’étais donné corps et âme, je devrais affronter cette ignominie ?», s’est-elle interrogée.

L’actrice n’a pas manqué de rappeler qu’elle est une défenseure des droits des victimes et qu’elle a toute confiance en la justice. «Il va sans dire que dans ma vie, j’ai toujours été et serai toujours du côté des victimes», a-t-elle conclu, tout en réclament le respect de sa vie privée et celle de ses deux enfants.

Dernier articles
Les articles les plus lu

Peines alternatives : vers une justice plus humaine

Société - La justice marocaine franchit un cap avec l’entrée en vigueur de la loi sur les peines alternatives, un texte ambitieux visant à moderniser le système judiciaire.

Ilyasse Rhamir - 16 décembre 2024

Arts et métiers : une ambition maroco-française au service de l’innovation industrielle

Société - Le 5ᵉ CA de l’école Arts et Métiers, campus de Rabat, s’est tenu le 16 décembre 2024 sous la présidence de Ryad Mezzour.

Rédaction LeBrief - 16 décembre 2024

Enseignement : des réformes urgentes face à un système en crise

Société - Le dernier rapport de la Cour des comptes dresse un état des lieux préoccupant du secteur de l’enseignement au Maroc.

Ilyasse Rhamir - 16 décembre 2024

Les Marocains en tête des étrangers affiliés à la sécurité sociale espagnole

Monde - Avec 342.318 affiliés, les Marocains représentent les travailleurs étrangers qui cotisent le plus à la sécurité sociale en Espagne.

Rédaction LeBrief - 16 décembre 2024

Spoliation immobilière : un homme d’affaire écope de six ans de prison ferme

Société - La Chambre criminelle de première instance a condamné Abdallah Boudrika à six ans de prison ferme pour spoliation immobilière.

Mbaye Gueye - 16 décembre 2024

Nabil El Halfawy, disparition d’une légende égyptienne

Monde - L’acteur Nabil El Halfawy, est décédé dimanche à l’âge de 77 ans, des suites d’une dégradation soudaine de son état de santé.

Rédaction LeBrief - 16 décembre 2024

Corée du Sud : le président Yoon destitué après un coup de force avorté

Monde - Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a été officiellement destitué samedi par le Parlement, suite à sa tentative avortée d’instaurer la loi martiale.

Ilyasse Rhamir - 14 décembre 2024

Alerte Météo : vents violents au nord du Maroc

Société - La DGM a émis un bulletin d’alerte de niveau orange concernant des rafales de vent localement fortes prévues lundi dans certaines provinces du nord du Maroc.

Ilyasse Rhamir - 14 décembre 2024
Voir plus

L’immeuble yacoubian

Société - Témoin d'une époque, Alaa El Aswany pose, sans juger, un regard tendre sur des personnages qui se débattent dans le piège d'une société dominée par la corruption politique, la montée de l'islamisme, les inégalités sociales, l'absence de liberté sexuelle et la nostalgie du passé.

Rédaction LeBrief - 21 décembre 2023

Loi martiale, parlement assiégé, que s’est-il passé en Corée du Sud ?

Monde - Pour la Corée du Sud, cet épisode pourrait bien marquer une renaissance de la démocratie, à condition que les leçons soient tirées et que les responsables rendent des comptes.

Sabrina El Faiz - 4 décembre 2024

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée Champs requis marqués avec *

Poster commentaire