Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Devant un Congrès américain clivé, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a livré mercredi un discours, exhortant les États-Unis et Israël à consolider leur alliance face aux défis posés par le Hamas et l’Iran. Prenant la parole dans l’enceinte de la Chambre des représentants, il a plaidé avec force pour la guerre en cours à Gaza, en déclarant que la victoire d’Israël scellerait également celle des États-Unis, tout en dénonçant les manifestations d’opposition.
«L’Amérique et Israël doivent demeurer solidaires pour que triomphent les forces de la civilisation», a-t-il affirmé, acclamé par les républicains, mais critiqué par plus de 60 démocrates, dont l’ancienne présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, qui ont choisi de boycotter son intervention.
Dehors, des milliers de protestataires se sont rassemblés, certains allant jusqu’à brûler le drapeau américain et à qualifier Netanyahu de «criminel de guerre». En réponse, Netanyahu a répliqué en qualifiant ces manifestants de «marionnettes de l’Iran».
Lire aussi : Gaza : Netanyahu exige le contrôle israélien sur la frontière égyptienne
Netanyahu sollicite l’aide américaine et prône la démilitarisation de Gaza
Dans son discours, Netanyahu a également rendu hommage à l’ex-président Donald Trump et a sollicité la poursuite de l’aide militaire américaine, essentielle selon lui à la rapide conclusion du conflit. Sa visite à Washington survient dans un contexte tendu, avec des répercussions politiques majeures, à peine quelques jours avant une rencontre prévue avec le président Joe Biden.
Netanyahu, fréquemment ovationné par les républicains, se positionne fermement contre la réoccupation de Gaza. Il prône à la place une «démilitarisation et une déradicalisation», tout en maintenant un contrôle de sécurité strict pour prévenir toute résurgence de la violence.
Ce discours, marquant sa quatrième adresse au Congrès, souligne l’importance de l’alliance stratégique entre les États-Unis et Israël, malgré les frictions persistantes et les défis diplomatiques et humanitaires soulevés par la prolongée offensive à Gaza.
Temps de lecture : 2 minutes
USA : Trump place ses proches aux commandesDonald Trump, fraîchement élu pour un second mandat, construit une administration qui reflète ses priorités et renforce ses soutiens politiq… |
Le prince héritier saoudien appelle à la fin des attaques israéliennes au Liban et à GazaLe prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed Ben Salmane, a exhorté lundi la communauté internationale à mettre un terme immédiat aux atta… |
COP29 : tensions et blocages climatiquesLa COP29 s’ouvre à Bakou, en Azerbaïdjan, dans un climat de tensions qui met en lumière les fractures persistantes entre pays du Nord et pay… |
Inondations en Espagne : 3,8 milliards d’euros en plan de soutienLe premier ministre espagnol Pedro Sánchez a dévoilé lundi un nouveau plan de soutien d’environ 3,8 milliards d’euros pour aider les sinistr… |
Netanyahu reconnaît avoir validé l’attaque aux bipeurs contre le HezbollahCe dimanche 10 novembre, Benjamin Netanyahu a reconnu avoir donné son feu vert à l’attaque aux bipeurs qui a visé le Hezbollah libanais en s… |
La COP 29 s’ouvre en AzerbaïdjanLa 29e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 29), s’est ouvert ce lundi à Bako… |
Octobre 2024 : l’Espagne enregistre son mois le plus pluvieux jamais observéSelon l'Agence espagnole de météorologie (AEMET), le mois d'octobre 2024 a marqué un record historique de précipitations en Espagne. Ce mois… |
La France face à la menace de la grippe aviaireFace à l’augmentation des cas d’influenza aviaire hautement pathogène en Europe, la France a décidé de passer son niveau de risque de “modér… |