C’est une initiative dont nous avons grand besoin en ces temps de superflu et de survol des questions fondamentales pour l’avenir de notre pays. Il s’agit d’une publication périodique à but non lucratif baptisée « Réflexions Économiques » (RéfÉco).
Cette revue académique est née de la volonté dechercheurs en sciences sociales (faculté des sciences juridiques, économiques et sociales Aïn Chock à Casablanca) désireux de prendre part au débat public et de pouvoir l’alimenter avec des réflexions fondées et des analyses mobilisant leurs connaissances en sciences sociales.
Comme le décrive ses fondateurs, ce nouveau-né a été conçu sur la base d’un « constat de terrain selon lequel un fossé persistant sépare les écrits académiques, dont le champ des lecteurs est limité aux spécialistes, et la presse écrite qui est souvent insuffisamment pourvue en esprit d’analyse ou en souci de démonstration », expliquent ses promoteurs.
Le premier numéro de la revue « Réflexions Économiques » est consacré à un sujet ô combien important pour le Maroc, l’éducation. Préparé et coordonné par Fouad M. Mourji et Yasser Y. Tamsamani, ce numéro traite les trois grandes questions se rapportant à l’éducation :
- Éducation, performances et abandon : de quoi parle-t-on au juste ?
- Difficultés du système éducatif : quelle est l’efficience des actions palliatives ?
- L’éducation constitue-t-elle un ascenseur social ?
À travers une série d’articles basés sur des approches méthodologiques critiques, les différents auteurs (chercheurs universitaires) nous fontun diagnostic et exposent des propositions pour que l’école joue pleinement son rôle.
Sur plus de 200 pages, le lecteur a des réponses sur des questions sous plusieurs angles concernant cette action d’élever, de former et de développer les facultés.
Le prochain numéro de la revue sera consacré à l’économie de la santé. Un appel à contributions est lancéà tous les chercheurs universitaires marocains.
La revue « Réflexions Économiques » est vendue au prix de 50 dirhams en kiosques, les étudiants peuvent l’acheter au sein du campus universitaire au prix de 20 dirhams.
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