Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a officiellement confirmé que l’addiction aux jeux vidéos était une maladie à part entière. De nos jours, plusieurs adultes sont devenus addicts à leur console ou manette.
Les enfants développent cette mauvaise habitude à un très jeune âge. Ils aiment jouer à des jeux en ligne, des jeux vidéos et des jeux mobiles. Lentement, le jeu prend le contrôle de leur vie et leurs parents sont incapables de mettre fin à cette mauvaise habitude.
Le 25 mai dernier, 194 spécialistes de santé ont déclaré à Genève que le « Gaming » était une vraie pathologie et l’ont ajouté à la nouvelle Classification internationale des maladies (CIM-11). Cette décision a été prise lors de la 72e Assemblée mondiale de la santé qui a pris fin ce mardi 28 mai.
Cette maladie se développe en jouant excessivement à des jeux vidéos. Ses symptômes prépondérants sont l’isolement social et le jeu compulsif, mais aussi les sauts d’humeur, l’hyperconcentration sur le gain dans le jeu et la diminution de l’imagination.
Selon le rapport de l’OMS, ce trouble se diagnostiquerait « comme un comportement lié à la pratique des jeux vidéos ou des jeux numériques, qui se caractérise par une perte de contrôle sur le jeu, une priorité accrue accordée au jeu, au point d’évincer les autres centres d’intérêt et activités quotidiennes, et par la poursuite ou la pratique croissante du jeu en dépit des répercussions et des conséquences qu’il peut induire ».
Selon les sources de l’organisation, jouer à des jeux en ligne peut avoir un impact négatif sur un individu. En outre, cela peut les détourner des activités saines et des loisirs/plaisirs de la vie.
Temps de lecture : 2 minutes
La marine royale sauve 54 migrants subsahariens au large de Tan-TanDimanche, un garde-côtes de la marine royale a intercepté, à 83km au nord-ouest du port de Tan-Tan, une embarcation de fortune avec à son bo… |
CHU Ibn Sina : deux transplantations hépatiques réussies en moins de 48 heuresDans un exploit médical sans précédent au Maroc, le centre hospitalier universitaire (CHU) Ibn Sina, en étroite collaboration avec l'équipe … |