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Les regards seront tournés vers la Banque centrale ce mardi 22 septembre. Elle y tient la 3e réunion annuelle de politique monétaire. Les deux précédentes réunions avaient été riches en annonces, surtout la double baisse du taux directeur. Il a été ramené à 2% en mars puis à 1,5% en juin.
Permettre aux banques de financer l’économie
Parallèlement, Bank Al-Maghrib (BAM) a pris de nombreuses autres mesures contribuant à tripler la capacité de refinancement des banques. BAM a aussi ramené le taux de la réserve obligatoire à 0% (l’argent que les banques doivent conserver en permanence dans leurs comptes auprès de BAM). Par ailleurs, la Banque centrale a assoupli plusieurs règles prudentielles notamment sur le provisionnement des créances pour permettre aux banques d’absorber le choc et de continuer à financer normalement l’économie. La réunion de septembre devrait être l’occasion d’effectuer un premier bilan de toutes ces mesures et de voir s’il faut aller plus loin dans le soutien. Pour le moment, les pronostics plaident pour un statu quo sur le taux directeur. Dans un sondage effectué par Attijari Global Research, 66% des investisseurs s’attendent à ce que le taux directeur ne change pas contre 34% qui anticipent une baisse.
Analyser l’impact des précédentes mesures
En juin dernier, Bank Al-Maghrib avait indiquésuivre de près la transmission de la baisse du taux directeur aux taux débiteurs. C’est déjà le cas pour les crédits Relance. Il reste à savoir si le coût de financement a baissé pour les emprunteurs qui ne bénéficient pas des mécanismes de soutien. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’aura pas de baisse générale des taux d’intérêt au regard de la conjoncture et de l’augmentation du risque dans de nombreux secteurs. Comme le disent les banquiers, ce sera du cas par cas.
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