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Samedi 8 août, l’Association de défense des droits de l’Homme (ADDF) à Tétouan, qui réunit plusieurs avocats, a publié un communiqué exprimant son soutien à la victime présumée du journaliste Omar Radi, Hafsa Boutahar. En effet, le collectif de robes noires s’est portée partie civile pour défendre la jeune femme, qui accuse Radi de viol.
Dans ce communiqué, l’association, présidée par l’avocat Lahbib Hajji, souligne qu’il s’agit d’une réponse à la «demande de soutien» que Boutahar avait déposée. Après avoir écouté la victime présumée et avoir «examiné plusieurs données», l’ADDF a décidé d’exprimer sa «solidarité avec la plaignante», qui «appartient à un groupe juridiquement vulnérable parce qu’elle est une femme exposée à toutes sortes de violence». «Nous estimons qu’il est de notre devoir de nous placer aux côtés de la victime dans ce procès où l’essentiel, à savoir le viol, est omis sous couvert de tapage médiatique en faveur du présumé agresseur», a souligné l’avocat Lahbib Hajji, contacté par Le360.
Rappelons que Radi fait l’objet de deux enquêtes. La première est «au sujet de la réception de fonds de parties étrangères en vue de porter atteinte à la sécurité intérieure de l’État» et «de mener des contacts avec des agents de pays étrangers pour nuire à la situation diplomatique du Maroc». Il est également accusé de viol, suite à une plainte déposée par sa collègue, Hafsa Boutahar.Le journaliste avait été placé en détention le 29 juillet dernier. Son procès doit débuter le 22 septembre prochain.
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