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Le Conseil supérieur de la communication audiovisuelle (CSCA) relevant de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a rendu public un nouveau rapport sur le traitement médiatique réservé à la crise Covid-19. Ce dernier consiste en une analyse de 6048 heures de diffusion en plus de 60 éditions de magazines d’information.Ces dernières étaient dédiées aux questions d’intérêt général programmées sur les services télévisuels publics généralistes entre le 1er mars et le 30 juin 2020, rapporte le quotidien Le Matin dans son édition du vendredi 7 août 2020.
Il en ressort que les acteurs politiques ne sont intervenus qu’à hauteur de 21% sur les médias pendant le confinement sur 24 services radiophoniques et télévisuels publics et privés. Par ailleurs, les représentants de l’administration ont représenté 27% des intervenants au cours de ladite période. «Le même pourcentage (27%) a échu aux intervenants des milieux médical, scientifique, et académique», précise le rapport. Quant aux représentants des milieux professionnels, ils ne représentent que 13% des interventions. «9% des personnalités publiques intervenues se sont exprimées au nom d’organisations de la société civile et 3% au nom d’organisations syndicales», ajoute le CSCA.
En ce qui concerne la présence féminine, elle «n’a pas dépassé la barre des 13%». Pour le Conseil, cette représentation minorée est «en déphasage» avec la réalité des compétences féminines impliquées dans la chose publique et expertes dans les différents domaines en rapport avec la crise sanitaire, rapporte le journal Aujourd’hui le Maroc dans son numéro de ce vendredi.
Selon la HACA, les radios et télévisions auraient pu mettre en place davantage de programmes adaptés à des enfants exposés aux effets psychologiques du confinement et surexposés aux médias classiques et numériques. La HACA relève toutefois que la moitié de la grille de référence quotidienne de l’ensemble des services radiophoniques et télévisuels (50%) a été consacrée à des contenus en rapport avec le Covid-19. Quant aux nouveaux programmes, ils ont représenté plus de 33% du volume horaire, les 77% restants étant composés des émissions habituelles programmées avant la crise.
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