Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Nouvelle année, nouvelle approche. En effet, le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a annoncé avoir élaboré une nouvelle approche pour la prochaine année scolaire. Ci-dessous, 5 nouveautés pour cette année 2020.
Seuil d’accès au concours fixé à 12/20
Pour la première fois, le seuil d’accès au concours a été fixé à 12/20.Lamoyenne d’accès l’année dernièrese situait entre14,18 et 17,2dans les différents établissements du royaume. Cette initiative du ministère de la Santé vise à assurer l’égalité des chances entre tous les candidats.
3000 places à prendre
Sur les 56000 candidatures déposées, 3000 seront acceptéessoit un taux d’acceptation de 5,3%, rapporte le journal L’Économiste dans son édition du mardi 4 août 2020. La liste des bacheliers admis sera publiée d’ici la fin de la semaine sur le site www.concoursmed.ma.
Un examen national commun
Un concours commun sera organisé par les sept facultés publiques de médecine et de pharmacie et les deux facultés de médecinedentaire. Pour cela, un dispositif a été mis en place pour veiller à la bonne organisation du concours. Ainsi, 88 centres d’examens seront mis à disposition pour le concours commun dans les villes et les centres universitaires dans plus de 42 préfectures ou provinces du royaume. L’objectif étant de réduire les déplacements des candidats dans ces circonstances exceptionnelles, rapporte le quotidien Le Matin dans son édition du lundi 3 août 2020. Par ailleurs, 4000 surveillants (enseignants-chercheurs, médecins internes, résidents, cadres administratifs et techniques et étudiants en doctorat dans toutes les universités nationales) seront également mobilisés à cet effet.
Une souplesse dans le traitement des dossiers
La crise sanitaire a poussé le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à faciliter la démarche du dépôt desbaccalauréats. Ainsi, les étudiants qui seront admis n’auront pas à se déplacer dans leurs établissements d’accueil, mais pourront déposer simplement leur baccalauréat au niveau des établissements universitaires de la région. Une démarche qui pourrait être reconduite à l’avenir en cas de succès de cette première expérience.
La capacité d’accueil en hausse moyenne de 7%
La capacité d’accueil des facultés de médecine et de pharmacieest en hausse constante depuis plusieurs années. La hausse moyenne est de 7%. Aussi, la capacité d’accueil a connu une hausse de 30% depuis l’année 2015. (22338 inscrits en 2019 contre 17129 en 2015). Le Maroc souffre tout de même d’un grand besoin en termes de médecins. Le royaume compte à peine 7 médecins pour 10000 habitantscontre une moyenne de 31 en France.
Temps de lecture : 3 minutes
MRE : un pilier pour le développement durableLes Marocains résidant à l'étranger jouent un rôle essentiel dans l'essor du Royaume. À travers des transferts financiers massifs, des initi… |
Agriculture : l’irrigation localisée en plein essorLe Maroc, pays aux ressources hydriques limitées, mise sur l’innovation pour répondre aux défis du stress hydrique et booster la compétitivi… |
Le Maroc renforce son industrie face aux enjeux mondiauxLe secteur industriel marocain, moteur de la croissance économique du pays, fait face à des défis importants en raison des mutations globale… |
Maroc 2024 : réformes clés pour un avenir durableEn 2024, le Maroc se trouve à un carrefour décisif de son développement économique. À la suite de plusieurs chocs externes, dont la pandémie… |
Pourquoi le gouvernement s’oppose-t-il à l’exonération fiscale des associations ?Les parlementaires du groupe socialiste n’ont pas été tendre avec le ministre délégué en charge du Budget, Fouzi Lekjaa. Ces derniers ont fo… |
Défis budgétaires : quelle est la stratégie de l’État ?Le bulletin mensuel de statistiques des finances publiques d’octobre 2024, publié par la Trésorerie générale du Royaume du Maroc met en lumi… |
Crise de la main-d’œuvre dans l’agriculture marocaineDepuis plusieurs années, l’agriculture marocaine subit une transformation profonde, principalement en raison de la migration de nombreux tra… |
PLF 2025 : taxe sur les gains, une menace pour les casinosDans le cadre du projet de loi de Finances (PLF) 2025, le gouvernement marocain propose d’introduire une taxe directe sur les gains des joue… |