Le second panel sur l’évolution des comportements des ménages face à la pandémie du nouveau coronavirus, révèle des statistiques intéressantes. 89% des ménages marocains accepteraient d’être vaccinés contre le Covid-19. Un pourcentage plus élevé dans le monde rural (93,4%) que dans le milieu urbain (87%). En ce qui concerne les vaccins, si celui du Covid-19 était disponible, deux Marocains sur 3 (68,8%) l’auraient effectué.
Par ailleurs, le HCP révèle dans son enquête que près de 9 Marocains sur 10 (87,3%) accepteraient de faire un test de dépistage. Par contre, 1 sur 10 (10,2%) le refuserait, les citadins (11,6%) plus que les ruraux (7%), les femmes (16,2%) plus que les hommes (8,7%) et les personnes âgées (14%) plus que les jeunes de 15 à 29 ans (8,3%), rapporte Aujourd’hui le Maroc dans son édition du lundi 20 juillet 2020.
D’un autre côté, près de 2,5% des ménages (213000 personnes) ont au moins un membre ayant subi un test de dépistage Covid-19, 3,3% en milieu urbain et 0,8% en milieu rural. D’un autre côté, 1 ménage sur 10 a un proche ou quelqu’un du voisinage atteint du coronavirus, rapporte Maroc Diplomatique.
S’agissant de la propagation du Covid-19, le HCP signale que 90,5% des ménages n’ont enregistré aucun cas confirmé ni dans leurs réseaux familiaux, ni dans leurs environnements géographiques immédiats, ni parmi leurs connaissances. Cette proportion est plus élevée en milieu rural (94,8%) qu’en milieu urbain (88,4%).
Le quart des Marocains souhaitent voyager après la levée de l’état d’urgence sanitaire
Selon le HCP, 26,1%, des Marocains prévoient de voyager pour les vacances d’été après la levée de l’état d’urgence, actuellement en vigueur jusqu’au 10 août. Le rapport HCP explique que 71,5% des familles marocaines n’ont aucune intention de voyager cet été. Environ 78,9% des Marocains prévoyant de voyager ont l’intention de rendre visite à des proches, tandis que 8,2% prévoient de louer des maisons. Seulement 3% choisiront un hébergement à l’hôtel.
39,4% des Marocains expliquent les raisons de ce refus de voyager par unmanque de ressources, citant cela comme un élément dissuasif. Pendant ce temps, 26,1% des familles marocaines ont répondu que voyager pendant les vacances d’été ne faisait pas partie de leur routine habituelle, rapporte Hespress FR. La peur d’être contaminé par le coronavirus empêche 15,3% des personnes interrogées de voyager.
Rendre visite à la famille constitue la première activité envisagée par les ménages après la levée du confinement sanitaire. En effet, près de la moitié des Marocains âgés de 15 ans et plus (45,7%) ont l’intention de le faire. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes avec 57,3% contre 33,8%. On apprend que 8,7% des Marocains projettent des activités de loisirs en plein air. Cette intention est partagée à égalité entre hommes (8,9%) et femmes (8,6%) et tend à diminuer selon l’âge en passant de 15,2% parmi les adolescents de 15 à 17 ans à 6,1% parmi les personnes âgées.Rappelons enfin que cette étude aconcerné 169 familles marocaines et a été réalisée entre le 15 et le 24 juin 2020.
Le journal Al-Omq Al-Maghribi réagit aux propos diffamatoires de Abdelilah Benkirane
Société - Al-Omq Al-Maghribi a reçu avec étonnement les propos diffamatoires émis par le secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane.
Rédaction LeBrief - 23 décembre 2024Protection des consommateurs : 300.000 contrôles effectués en 2024
Société - Le ministère de l’Intérieur a multiplié ses initiatives avec plus de 300.000 opérations de contrôle en 2024 pour garantir la qualité des produits commercialisés.
Ilyasse Rhamir - 23 décembre 2024Lutte contre les déchets plastiques : les Marocains prêts à agir
Société - 94% des Marocains interrogés accordent une grande importance à l'élimination des déchets plastiques.
Rédaction LeBrief - 23 décembre 2024Casablanca : suspect arrêté après acte violent
Société - Les éléments de la police judiciaire de la zone Ain Sebaâ – Hay Mohammadi, en coordination avec la DGST, ont interpellé, un suspect de 31 ans recherché pour plusieurs affaires criminelles.
Ilyasse Rhamir - 23 décembre 2024Fourrières à Casablanca : un système en crise
Société - D’après le rapport annuel 2023-2024 de la Cour des comptes, 97% de ces fourrières ne sont pas légalement constituées en tant que service public.
Ilyasse Rhamir - 23 décembre 2024MRE, qui ne veut pas de vous ?
DOSSIER - C’est l’histoire d’un MRE qui a failli perdre la vie dans une altercation autour d'une terre. Une affaire sordide où advient aussi le « racisme anti-MRE ».
Sabrina El Faiz - 21 décembre 2024L’école marocaine, un rêve empreint d’inégalité
Société - Malgré des avancées notables, le Maroc continue de faire face à des inégalités éducatives importantes.
Ilyasse Rhamir - 20 décembre 2024Casablanca intègre le C40 des villes engagées pour les actions climatiques
Société - La commune de Casablanca a annoncé son adhésion au réseau mondial C40 des villes, regroupant près de 100 villes engagées dans des actions climatiques.
Mbaye Gueye - 20 décembre 2024Les funérailles de Chama Zaz
Khansaa Bahra - 1 octobre 2020Héritage, la succession qui déchire
Société - L'heure n'est pas aux comptes, et pourtant les familles se divisent pour l'indivisible. Immersion dans un héritage déchirant.
Sabrina El Faiz - 9 novembre 2024Notes de route du Sahara
Société - Très impressionnante, l'histoire de sa vie fait d'elle un personnage romanesque. A son premier voyage dans le Sahara, Isabelle Eberhardt, reporter, voyageuse et aventurière, tombe amoureuse de cette terre et de ses gens.
Rédaction LeBrief - 4 avril 2024L’INDH : 18 ans après, quel bilan ?
Société - Lancé en 2005 par le roi Mohammed VI, l’Initiative nationale pour le développement humain souffle aujourd’hui ses 18 bougies.
Hajar Toufik - 18 mai 2023Busway de Casablanca : c’est parti !
Rédaction LeBrief - 1 mars 2024Nouvelles du Maroc
Société - À l'extrême ouest du Maghreb, tête de pont vers les Amériques, point de passage vers l'Europe par le détroit de Gibraltar, le Maroc est un carrefour d'influences unique au monde où se mélangent modernité et traditions.
Rédaction LeBrief - 1 avril 2024Le racisme expliqué à ma fille
Société - Un enfant est curieux. Il pose beaucoup de questions et il attend des réponses précises et convaincantes. C’est en m’accompagnant à une manifestation contre un projet de loi sur l’immigration que ma fille m’a interrogé sur le racisme.
Rédaction LeBrief - 22 mars 2024Bidonvilles, pourquoi y en a-t-il encore ?
Dossier - Ces habitats se concentrent dans les périphéries ou au sein de bidonvilles, où les efforts de résorption peinent à suivre.
Sabrina El Faiz - 30 novembre 2024