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Lors de l’interminable sommet qui se déroule à Bruxelles pour débattre des mesures de soutien à l’économie européenne après les ravages de la crise sanitaire due à la pandémie du nouveau coronavirus, les désaccords entre les 27 soulignent les divisions au sein du bloc, au moment où une récession historique frappe l’Europe. Dans la nuit du dimanche 19 au lundi 20 juillet, des tractations étaient toujours en cours entre les dirigeants européens pour tenter de parvenir à un compromis sur un plan de relance massif de 750 milliards, initié et soutenu par le couple franco-allemand. Les négociations sont particulièrement compliquées, faisant de ce sommet le plus long depuis celui de Nice en 2000.
Après trois jours de négociations stériles,Emmanuel Macron, président français, et Angela Merkel, la chancelière allemande, ont levé le ton face aux Pays-Bas et à l’Autriche, les deux pays les plus réfractaires, auxquels se sont associés la Finlande, la Suède et le Danemark. Ces pays dits «frugaux» sont réticents à adopter ce plan de relance. Macron a dénoncé «l’égoïsme» et la mauvaise volonté de ces États, et s’en est notamment pris à Mark Rutte,Premier ministre néerlandais, et à Sebastian Kurz, chancelier autrichien. Le président français a souligné que c’était la France et l’Allemagne qui allaient «payer ce plan», dans «l’intérêt de l’Europe, quand les frugaux sont égoïstes et ne font aucune concession».
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