Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
![](https://files.lebrief.ma/uploads/2020/07/11171448/eer.jpeg)
Temps de lecture : 3 minutes
On le sait, le projet de loi visant la mise en place du Registre social unifié (RSU) ne sera effectifqu’à partir de 2022 dans sa phase d’essai, alors que sa généralisation se fera entre 2023 et 2025. Un délai jugé trop long par certains parlementaires, rapporte les Inspirations éco dans son édition du mercredi 15 juillet 2020.
La même source affirme que le projet de loi relative au dispositif de ciblage des bénéficiaires des programmes sociaux et portant sur la création de l’Agence nationale des registres, devrait franchir, ce mercredi, le cap de la Commission de l’Intérieur à la Chambre des représentants. Le texte qui a été déjà adopté par la Chambre des conseillers, le 16 juin dernier, sera bientôt entériné en séance plénière par les députés.
À cet effet, Noureddine Boutayeb, ministre délégué auprès du ministère de l’Intérieur, a fait savoir que la création du registre national de la population permettra «la mise en place d’une base numérique, centrale et sécurisée des données qui peuvent être collectées, enregistrées, conservées et actualisées, et comportant des informations à caractère personnel de l’ensemble de la population sur le territoire national, y compris les mineurs et les nouveau-nés ainsi que les étrangers résidant au Maroc».
Les recommandations de la CNDP
La Commission nationale du contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP) a émis quelques recommandations concernant l’architecture des identifiants. Cette dernière recommande que les données d’usage ainsi que les données d’authentification ne soient pas stockées au sein de la même architecture et sous la responsabilité de la même entité, rapporte le journal Aujourd’hui le Maroc ce mercredi.
Par ailleurs, la CNDP profite de l’occasion pour émettre «des réserves fortes sur le fait que chaque fournisseur de services constitue sa propre base biométrique, celle de ses clients et/ou prospects, parfois hébergée en dehors du territoire national». Dans le même ordre d’idées, la Commission a une nouvelle fois affirmé sa disposition à donner son avis au gouvernement et au Parlement, tel que prévu dans l’article 27 de la loi 09-08.
Temps de lecture : 3 minutes
Aïd Al-Adha 2024 : quand la tradition rencontre l’inflationC'est l'une des fêtes religieuses les plus importantes du calendrier islamique. Mais Aïd Al-Adha est bien plus qu'une simple célébration. C'… |
Mondial 2030 : le Maroc face aux défis du transportTous sont en ordres de batailles pour trouver la meilleure stratégie avant la grande échéance de la Coupe du monde 2030 que le Maroc va co-o… |
Lutte contre le travail des enfants : le Maroc en plein progrèsLe Maroc a réussi à réduire le nombre d'enfants travailleurs de 94% au cours des vingt dernières années. C'est ce qu'a affirmé ce mercredi à… |
Baccalauréat 2024 : c’est parti pour plus de 493.000 candidats !Le baccalauréat, rendez-vous annuel incontournable, est enfin arrivé après des mois de préparation intense. Pour les futurs bacheliers, c'es… |
Les réalités auxquelles s’est heurté le RAMEDEn 2012, après quatre années de tests pilotes, le Maroc déployait le programme RAMED, une initiative ambitieuse visant à démocratiser l'accè… |
Qu’est ce qui bloque le lancement de la 5G ?En répondant à une question orale sur « le lancement de la 5G » présentée par le groupe parlementaire du Rassemblement national des indépend… |
Opération Marhaba : c’est parti pour la 24e édition !Sous la présidence effective du roi Mohammed VI, la Fondation Mohammed V pour la Solidarité annonce le lancement de la 24e édition de l’opér… |
Santé numérique : quel intérêt pour le Maroc ?Au Maroc, comme partout ailleurs, l’on s’inquiète de la protection des données personnelles. D’autant plus lorsqu’il s’agit de données sensi… |