Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
La bataille prolongée pour le pouvoir au Venezuela revient aux négociations, au moment où les représentants du président Nicolás Maduro et du leader de l’opposition Juan Guaidó se sont réunis jeudi pour résoudre la crise politique qui paralyse la nation sud-américaine.
Les réunions en Norvège surviennent deux semaines après que Guaidó ait vainement appelé l’armée à renverser Maduro, et 17 mois après l’échec du dernier cycle de pourparlers.
« Je comprends les réticences naturelles que vous manifestez en raison des frustrations liées à l’échec des précédentes procédures », a déclaré ce jeudi à Caracas Guaidó, président de l’Assemblée nationale du Venezuela, dirigée par l’opposition.
« Ne confondons pas l’objectif avec les mécanismes », a-t-il précisé. « Nous avons dit que nous allons examiner toutes les options. Ne vous embrouillez pas l’esprit. Nous aimons le Venezuela, mais aucun mécanisme. »
La décision de reprendre les pourparlers – malgré les doutes quant à leurs chances de succès – souligne la pression croissante qui pèse sur les deux parties.
Depuis que Guaidó s’est déclaré président par intérim du Venezuela en janvier dernier, l’opposition a obtenu le soutien des États-Unis et de plus de 50 autres pays. Elle a inondé les rues avec des dizaines de milliers de manifestants et expulsé certains officiels appartenant au cercle restreint de Maduro.
Toutefois, elle n’a pas encore réalisé sa principale promesse : le retrait de Maduro et le rétablissement de la démocratie.
Guaidó a affirmé que pour l’opposition, c’est l’unique finalité des négociations.
« Nous ne participerons à aucune fausse négociation, rien ne mènera à la fin de l’usurpation, au gouvernement de transition, ni aux élections libres », a-t-il souligné.
Pour que les discussions soient fructueuses, elles doivent surmonter un certain nombre d’obstacles. Maduro, qui a revendiqué la victoire l’année dernière lors d’une élection considérée comme frauduleuse, refuse de desserrer son étreinte sur le pouvoir. L’opposition n’en acceptera pas moins pour autant.
Temps de lecture : 2 minutes
Syrie : 68 morts dans les frappes israéliennesLes frappes israéliennes menées mercredi contre des groupes pro-iraniens à Palmyre, en Syrie, ont fait 68 morts, selon un nouveau bilan publ… |
États-Unis : nouvelles nominations dans l’administration TrumpLe président élu Donald Trump a annoncé plusieurs nouvelles nominations dans son administration, qui prendra ses fonctions à la fin du mois … |
Espagne : une réforme pour régulariser les migrants en situation irrégulièreLe gouvernement espagnol a récemment adopté une réforme majeure de la loi sur les étrangers, visant à simplifier et accélérer la régularisat… |
Le G20 plaide pour la paixLors du sommet de Rio de Janeiro, le G20, présidé par le Brésil, a exprimé son soutien à un cessez-le-feu immédiat à Gaza et au Liban, face … |
G20 : taxer les ultras riches pour un monde plus équitableLors du sommet du G20 à Rio de Janeiro, les chefs d’État ont adopté une résolution historique en faveur de la taxation des ultra-riches. Pro… |
Erasmus+ : 5 milliards d’euros pour les échanges éducatifs en 2025En 2025, l'Union européenne allouera 5 milliards d'euros au programme Erasmus+, destiné à soutenir les échanges éducatifs, les projets de co… |
COP29 : lancement de la déclaration pour la réduction du méthane provenant des déchets organiquesÀ Bakou, lors de la COP29, une Déclaration majeure sur la réduction des émissions de méthane issues des déchets organiques a été lancée, eng… |
COP 29 : les engagements de Bank Al-Maghrib pour réduire les risques climatiquesLes initiatives de Bank Al-Maghrib visant à réduire les risques climatiques dans le secteur bancaire ont été mises en lumière lors d'un side… |