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Ce lundi 1er juin, Donald Trump, qui se proclamait « président de la loi et de l’ordre », a ordonné à la police militaire dedisperser violemment des manifestants qui campaient devant sa résidence officielle. L’objectif de cette opération était de prendre des photos devant une église dégradée, une bible à la main. Un shooting qui a suscitébeaucoup de critiques. Selon l’évêque épiscopalien de Washington, au moment de la dispersion, «la manifestation était totalement pacifique» et il n’y avait «pas de justification» pour l’emploi de la force. Le président, qui compte parmi ses partisans des chrétiens évangéliques, a utilisé «le pouvoir symbolique de notre livre sacré et l’a tenu dans la main comme si c’était la justification de ses positions et de son autorité», a-t-elle déploré.
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