Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Pour sa première intervention au parlement après l’ouverture de la session printanière, le 10 avril 2020, le chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, a accusé quelques critiques de la part de certains députés parlementaires. Selon l’Économiste de ce mercredi, Omar Abbassi, député Istiqlalien, et Taoufik Kamil, chef du groupe parlementaire RNI-UC, ont déploré le manque de communication du gouvernement sur certains dossiers, notamment celui de la situation des Marocains bloqués à l’étranger. Ces députés appellent le ministère des Affaires étrangères à trouver rapidement une solution à ce problème, à l’instar de ce qu’ont fait plusieurs pays pour leurs citoyens qui se sont retrouvés dans la même situation.
Ces derniers ont insisté sur l’importance de renforcer la communication au sein du gouvernement, particulièrement en ce qui concerne l’utilisation des ressources du Fonds spécial Covid-19. Selon la même source, Taoufik Kamil a également critiqué le retard du déploiement du registre social unifié. Le texte qui est entre les mains des conseillers ne devrait sortir qu’après les élections législatives de 2021, selon les prévisions initiales du ministère de l’Intérieur, afin «d’éviter toute exploitation politicienne du dossier».Cependant, la crise actuelle pourrait accélérer son adoption.
Taoufik Kamil a également estimé que «les citoyens font les frais de la mauvaise gestion du secteur de la Santé, notamment en termes de dysfonctionnements ayant marqué la répartition des ressources humaines ou l’acquisition des équipements médicaux». Aujourd’hui, la plupart des groupes parlementaires insistent sur la nécessité de se concerter avec le Parlement sur les questions stratégiques. Pour ces derniers, les scénarios de relance de l’économie nationale doivent être clairs afin de s’en sortir avec le minimum de dégâts, surtout en ce qui concerne les secteurs les plus touchés par la crise.
Certains députés soulignent que l’élaboration d’un plan de relance économique s’impose, rapporte Les Inspirations éco dans son édition du mercredi 15 avril 2020. Par ailleurs, les députés ont été unanimes sur la nécessité d’ériger en priorité trois secteurs stratégiques dans le cadre des réformes des politiques publiques: la santé, l’enseignement et l’emploi.
Temps de lecture : 3 minutes
Trump de retour : quel impact sur le Maroc ?L’élection de Donald Trump en 2024 grâce à une victoire écrasante dans les élections américaines, a ouvert la voie à un retour de l’ancien p… |
6 novembre : retour sur un discours historiqueCe mercredi soir, à l'occasion du 49e anniversaire de la Marche Verte, le roi Mohammed VI a adressé un discours marquant à la nation marocai… |
ONU : le Maroc préside le Conseil des droits de l’Homme sur la lutte pour l’égalité des genresLe 4 novembre 2024, Genève a été le théâtre d’une réunion historique sous l’égide du Maroc au sein du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU… |
Grand oral de Akhannouch : un nouveau souffle pour l’économieLe Maroc, grâce à des réformes stratégiques et une vision économique claire, a renforcé sa position en tant que hub régional et internationa… |
Sahara, France, Algérie… Nasser Bourita dit toutDans un entretien accordé au journal Le Point, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a partagé la vision diplomatique du Maro… |
Sahara : la MINURSO, phare d’une autonomie en quête de lumièreLe Conseil de sécurité de l’ONU a récemment adopté une résolution cruciale concernant la question du Sahara en prorogeant le mandat de la Mi… |
Enseignement supérieur : les défis de la protection de la propriété intellectuelle à l’ère de l’IACasablanca a récemment accueilli la 3ᵉ conférence arabe sur la propriété intellectuelle, sous le thème «La propriété intellectuelle et les d… |
PLF 2025 : répartition régionale des investissementsDans un contexte marqué par des disparités économiques croissantes entre les différentes régions du Maroc, le PLF 2025 se présente comme une… |