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Ce lundi 2 mars, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a menacé l’Union européenne de l’arrivée de «millions» de migrants, après que la Turquie a ouvert vendredi ses frontières avec la Grèce. Cette démarche turqueviole l’accord que les deux parties avaient signé en 2016, visant à contenir les flux migratoires des réfugiés syriens. Assumant sa décision, Erdogan a réclamé un «juste partage du fardeau» dans l’accueil des migrants, lors d’un entretien téléphonique avec la chancelière allemande, Angela Merkel. Ankara cherche également à obtenir davantage de soutien occidental en Syrie. Merkel a dénoncé un «chantage inacceptable», exhortant le dirigeant turc àrespecter l’accord conclu en 2016 avec Bruxelles.
Le président turc a également accusé, lundi, lors d’une conférence de presse à Ankara, les autorités grecques d’avoir tué deux migrants qui tentaient de franchir la frontière gréco-turque, et d’en avoir grièvement blessé un autre. Athènes avait toutefois démenti ces allégations. La région étant en proie à une crise humanitaire sans précédent, une réunion d’urgence du Conseil des ministres de l’Intérieur de l’Union européenne «consacrée à la situation à la frontière gréco-turque» sera tenue ce mercredi 4 mars à Bruxelles.
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