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Ce mercredi 26 février, lors du troisième jour de l’examen par la justice britannique de la demande d’extradition vers les États-Unis du fondateur, rédacteur en chef et porte-parole de WikiLeaks, Julian Assange, sa défense a fait valoir que les charges portées contre lui sont «purement politiques». Selon les avocats de l’Australien, conformément au traité d’extradition américano-britannique, l’extradition ne doit pas être accordée si elle a été demandée pour des «infractions politiques», à moins qu’il ne s’agisse de faits de violence ou de terrorisme. En réponse, l’accusation a affirmé que dans le cas d’Assange, c’est la loi nationale sur l’extradition, qui n’a pas prévu cette exception.
Accusé d’espionnage, Assange est poursuivi pour avoir divulgué des documents secrets américains, dont la plupart sont liées aux guerres américaines en Irak et en Afghanistan. Sous le coup de 18 chefs d’inculpation aux États-Unis, il risque jusqu’à 175 ans de prison s’il est extradé. Depuis lundi, le tribunal de Woolwich (Royaume-Uni) examine la demande émise par les États-Unis.
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