Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Vendredi dernier, le ministère de l’Équipement, du Transport, de la logistique et de l’eau, a souligné le nombre de morts dans les accidents de la route en 2019. Au total, ils sont plus de 3384 personnes à avoir péri sur les routes marocaines en 2019 (baisse de 2,9% par rapport à 2018). 8417 personnes ont été grièvement blessées (baisse de 3,53% par rapport à 2018). Parmi les victimes décédées figurent 869 piétons (25,68% de l’ensemble des morts) et 1 235 usagers des 2 et 3 roues (36,50% du total des morts), rapporte Aujourd’hui le Maroc.
Les chiffres sont très loin des objectifs fixés par la stratégie nationale de la sécurité routière (2017-2026). L’objectif était de réduire le nombre de morts dans les accidents de la route de 25% d’ici 2021 et de 50% d’ici 2026. Cependant, le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani ne dramatise pas la situation et estime que cette baisse est porteuse d’ambitions. «Ces améliorations doivent encourager la poursuite de la mobilisation pour réduire les importants dommages des accidents, qui occasionnent également une perte économique et matérielle annuelle de près de 2,5% du PIB», a souligné El Otmani, vendredi dernier à Rabat, lors d’une réunion du comité interministériel chargé de la sécurité routière.
Lors de cette rencontre, le chef du gouvernement a rappelé la nécessité de poursuivre les efforts sur la sensibilisation et la prévention contre ce phénomène. Il a souligné l’importance de l’insertion de l’éducation à la sécurité routière dans le milieu scolaire, tout en envisageant des moyens innovants et en intégrant les moyens technologiques disponibles dans ce domaine. El Otmani a également souligné que le gouvernement inscrit ce chantier parmi ses priorités et que l’objectif final est de réduire de moitié le nombre de décès causés par les accidents de la circulation d’ici à 2026.
Temps de lecture : 2 minutes
Comment gérons-nous les intempéries ?Alors que les changements climatiques intensifient la fréquence et la gravité des intempéries, la nécessité d'une approche plus résiliente e… |
Casablanca au rythme des grands chantiersVous l’aurez sans doute remarqué, Casablanca ressemble à un vaste chantier à ciel ouvert. Autant de travaux en cours simultanément dans la c… |
Titres de séjour européens : le Maroc dans le top 5 des bénéficiaires en 2023En 2023, une nouvelle dynamique migratoire a été observée entre le Maroc et l’Union européenne (UE). Les données d'une récente publication d… |
TikTok au Maroc : interdiction ou régulation ?À nouveau sous les projecteurs, TikTok, le géant des réseaux sociaux, fait face à des critiques croissantes au Maroc. Une potentielle interd… |
Fnideq : quand le désespoir de la jeunesse exploseCe qui s’est passé ces derniers jours à Fnideq illustre l'ampleur du désespoir chez une grande partie de la jeunesse marocaine, ainsi que l'… |
Travail : pourquoi les femmes arabes sont-elles pénalisées ?Bien que des progrès aient été réalisés en matière d'égalité des sexes dans certaines régions du monde, les femmes dans de nombreux pays du … |
Santé : Dr Hamdi rassure sur la capacité du Maroc à gérer les épidémiesAlors que le monde continue de se remettre des répercussions d’une pandémie mondiale, un nouveau défi émerge avec le mpox, positionnant le M… |
Catastrophes naturelles : le PPS demande une mobilisation urgente du FSECLe PPS a exprimé, via un communiqué, sa profonde préoccupation pour les familles, villages et communes sévèrement impactés par ces catastrop… |