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Le secteur de la santé fait la Une de la presse hebdomadaire. Commençons par les bonnes nouvelles. Dans une interview exclusive accordée à la Vie Éco, datée du 14 février, le directeur général de la CNSS, Abdelatif Mortaki, a annoncéque la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), a pris des mesures pour améliorer son régime deTarification nationale de référence (TNR) et l’augmentation du taux de remboursement de plusieurs actes médicaux et du médicament. Et de préciser : «la refonte de cette tarification permettra de rehausser significativement à plus de 99% l’indemnisation des bénéficiaires de l’Assurance maladie obligatoireet le niveau de remboursementdes frais médicaux».On apprend que cette révision va coûter 250 millions de DH à la CNSS. Dans cet entretien, le DG de la Caissea partagé des indicateurs clés sur le secteur de la santé à commencer par celui de la dépense supportée à hauteur de 57% par les ménages.
Dans sa dernière édition TelQuel avance que les cinq conventions relatives à la TNR de l’Assurance maladie obligatoire (AMO), signées mi-janvier entre la CNSS et l’Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) profitent davantage aux structures de soins privées. En mettant fin à 14 ans de débat et de négociations sur la TNR, le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, et le président de l’ANAM, ont irrité les Caisses d’assurances publiques qui devront revoir leur base de remboursement à la hausse, estime le magasine.
Dans sa Une, TelQuelrevient également sur la dernière décision du Conseil national de l’ordre des Médecins (CNOM) autorisant les professeurs et les médecins du secteur public à prolonger leurs temps plein aménagés (TPA) afin d’exercer dans les cliniques privées. Sur la base d’une copie du PV de la réunion de l’Ordre, tenue le 29 janvier, l’hebdomadaire indique que le CNOM a approuvé l’application du TPA «à raison de deux après-midi par semaine pour les universitaires». Pour le journal, l’élargissement du TPA risque «de retarder davantage l’obtention de rendez-vous dans le secteur public de la santé, la surcharge de patients dans les centres de santé ainsi qu’une sous-médicalisation du secteur public sur l’ensemble du territoire».
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