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Ce lundi 3 février, le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a prononcé son premier discours post-Brexit, fixant le cadre des négociations à venir sur l’accord commercial avec l’Union européenne (UE). En réponse aux craintes de Bruxelles, il a assuré que le Royaume-Uni ne fera pas de concurrence déloyale à l’UE, «qu’elle soit commerciale, économique ou environnementale».
Sorti vendredi soir de l’UE après 47 ans d’appartenance aux 27, le Royaume-Uni est entré dans une nouvelle phase de négociations avec le bloc sur leurs futures relations. Les deux parties disposent d’une période de transition de 11 mois pour convenir de leurs coopérations,que Londres refuse de prolonger. Selon le négociateur de l’UE, Michel Barnier, le bloc est prêtà offrir à Londres «un accord commercial très ambitieux». La présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a toutefois souligné que le niveau d’accès du pays au marché unique européen dépendrait de son niveau d’alignement sur les règles communautaires.
Bien que ce marché soit crucial pour Londres, puisque l’UE est toujours son premier partenaire commercial, Johnson estime «ne pas avoir besoin d’un accord de libre-échange qui impliquerait d’accepter les règles européennes en matière de concurrence, de subventions, de protection sociale, d’environnement et autres, pas plus que l’UE ne devrait être obligée d’accepter les règles du Royaume-Uni». Alors que des accords commerciaux avec le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande devraient être bouclés, le Royaume-Uni souhaite devenir membre du Partenariat transpacifique. Il s’agit d’un groupe de 11 nations qui constitue le troisième espace de libre-échange après celui de l’Amérique du Nord et de l’UE.
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