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La Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc fera une nouvelle fois entendre sa voix lors d’un sit-in, qui sera organisé le 10 février prochain devant le ministère de la Santé à Rabat. Selon Les Inspirations Éco, les pharmaciens demandent une révision du décret relatif à la fixation des prix des médicaments, mais aussi, une intégration dans les discussions de l’Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) et la révision de la loi sur la vente des psychotropes.
Selon la même source, ces revendications ne datent pas d’aujourd’hui, mais n’ont jamais été prises en considération par le ministère. «Nous avons entamé plusieurs chantiers du temps de Anas Doukkali. Et dans le cadre de la continuité de l’État et de l’administration, nous avons écrit au nouveau ministre pour savoir ce qu’il en sera des chantiers entrepris avec son prédécesseur», déclare une source du Conseil national de l’ordre des pharmaciens (CNOP) à Medias 24. Selon lui, les représentants du secteur de la pharmacie tentent d’entrer en contact avec le ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, depuis son accession à ce poste en octobre 2019, mais n’arrivent toujours pas à le joindre.
D’après la même source, les chantiers entrepris avec la direction du médicament et de la pharmacie (DMP) n’ont pas connu de suite. L’arrivée du nouveau ministre et le départ du directeur de la DMP ont engendré le blocage des chantiers. Le Conseil national de l’ordre des pharmaciens qui invite à une participation massive au sit-in du 10 février appelle à une relance des chantiers mis en place avec l’ex-ministre de la Santé, Anas Doukkali.
Dans un communiqué, le CNOP a rappelé les principales recommandations des trois commissions, à savoir : l’établissement d’une liste de médicaments dédiés aux établissements de santé ;l’élargissement du contrôle aux différentes pharmacies selon les procédures en vigueur ;la mise en place d’une commission élargie composée du ministère de tutelle, l’ONSSA, le syndicat des pharmaciens de Casablanca ainsi que les représentants des pharmacies et des vétérinaires pour examiner la question des médicaments vétérinaires.
Le CNOP réclame égalementla suppression des restrictions économiques qui impactent la stabilité des pharmacies à travers la publication des lois relatives aux compléments alimentaires et aux produits dermocosmétiques.
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