Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Au 4e trimestre, l’indice de confiance des ménages a gagné 3 points par rapport au trimestre précédent en s’établissant à 77,8 points selon le HCP. Mais, il se situe en dessous de son niveau d’il y a un an (79,8 points). Cet indicateur calculé trimestriellement permet de prendre le pouls de la population sur différents sujets. Il permet d’anticiper le comportement de la consommation des ménages. Un indice en hausse serait donc à priori une bonne nouvelle pour l’économie et l’inverse peut être annonciateur de secousse sur le principal moteur de la croissance marocaine : les dépenses des ménages. Sous l’hypothèse d’une bonne campagne agricole et de l’amélioration des revenus en provenance du reste du monde, la consommation des ménages devrait augmenter de 3,5 % en 2020, selon les dernières prévisions du HCP.
L’indice du 4e trimestre nous dit que les ménages sont toujours craintifs par rapport au chômage et demeurent pessimistes sur le coût de la vie. La conjoncture n’inspire donc guère confiance aux ménages, ce qui peut les amener à réduire leurs dépenses. Toutefois, il peut y avoir des décalages entre ceux que disent les ménages et leur comportement. Depuis peu, le HCP sonde les ménages sur d’autres aspects les concernant notamment les droits de l’homme, la qualité des services publics, la protection de l’environnement.
Le sentiment global sur ces éléments est négatif, de quoi donner des indications aux élus sur l’orientation des politiques publiques. Plus de la moitié des ménages évoquent une poursuite de la dégradation de l’enseignement. Ils sont nombreux à avoir une opinion négative sur la qualité des soins. Pour une proportion non négligeable, la situation des droits de l’homme se détériore. Par ailleurs, il y a encore beaucoup à faire en matière de protection de l’environnement.
Temps de lecture : 2 minutes
PLF 2025 : résilience consolidée de l’économie marocaineLe rapport économique et financier, récemment publié, démontre que l'économie marocaine a fait preuve d'une résilience remarquable malgré un… |
PLF 2025 : nouveau souffle pour la fonction publiqueLe projet de loi de Finances (PLF) 2025 met en lumière plusieurs réformes et ajustements visant à améliorer la gestion des ressources humain… |
PLF 2025 : où en est la dette publique ?Les données du rapport sur la dette publique indiquent une croissance continue. Cette augmentation est due à plusieurs facteurs, dont des dé… |
PLF 2025 : impôt sur le revenu, à quels changements s’attendre ?Cette réforme s’inscrit dans une démarche visant à optimiser le système fiscal du pays, tout en favorisant l’augmentation du pouvoir d’achat… |
Grands axes du PLF 2025 : santé, éducation et emploi au premier planConçu dans un contexte de pressions climatiques, économiques et sociales accrues, le projet de loi de Finances (PLF) 2025 s'inscrit dans une… |
Emploi, pouvoir d’achat, IR… que nous réserve le PLF 2025 ?Le 19 octobre, Nadia Fettah, ministre de l’Économie et des Finances, a présenté le PLF 2025. Entrons directement dans le vif du sujet avec c… |
Marché : la viande toujours en hausseEn observant les prix des légumes cette semaine, on remarque une relative stabilité dans certaines catégories. Mais attention, on dit bien r… |
La vente de Sanofi en France: quel impact sur la fabrication du Doliprane au Maroc?Le Doliprane, dont le principal composé chimique est le paracétamol, est un médicament largement utilisé au Maroc pour traiter des affection… |