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Ce mercredi 18 décembre, la Bolivie a émis un mandat d’arrêt contre son ancien président, Evo Morales. Dans le cadre d’une enquête ouverte pour sédition et terrorisme, les procureurs de La Paz, Jhimmy Almanza et Richard Villaca, ont signé un texte ordonnant aux forces de l’ordre « d’arrêter et de conduire M. Juan Evo Morales Ayma au siège du ministère public ». Arturo Murillo, le ministre de l’Intérieur du pays, a publié ce texte sur son compte Twitter.
Sr. @evoespueblo para su conocimiento pic.twitter.com/1KrAFcevjQ
— Arturo Murillo (@ArturoMurilloS) December 18, 2019
Actuellement exilé en Argentine, l’ancien président bolivien a qualifié cette décisiond’« injuste, illégale et inconstitutionnelle ». « Ça ne me fait pas peur, tant que je serai en vie, je continuerai avec encore plus de force le combat politique et idéologique pour une Bolivie libre et souveraine », a réagi Evo Morales sur Twitter.
A 14 años de nuestra revolución, el « mejor regalo » que recibo del gobierno de facto es una orden de aprehensión, injusta, ilegal e inconstitucional. No me asusta, mientras tenga vida seguiré con más fuerza en la lucha política e ideológica por una #Bolivia libre y soberana pic.twitter.com/B6rSHVFeaa
— Evo Morales Ayma (@evoespueblo) December 18, 2019
Pour rappel, suite aux réclamations de l’armée et de la police, Evo Morales, au pouvoir depuis 2006, a annoncé sa démission le 10 novembre 2019, après trois semaines de manifestations massives. Au lendemain de sa démission, il s’est dit menacé et s’est réfugié au Mexique, où il a obtenu l’asile politique, avant de fuir vers l’Argentine.
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