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Après un quatrième scrutin national en quatre ans et le deuxième en moins de sept mois, les socialistes de gauche ont conservé leur place en tant que principale puissance au parlement espagnol. Ce dimanche 10 novembre, Pedro Sánchez, Premier ministre socialiste par intérim, a remporté les élections législatives nationales sans toutefois obtenir une majorité. Ainsi, le vote ne lui permet pas de former un gouvernement. Avec 99,9 % des voix comptées, il a remporté120 sièges sur 350. Toutefois, son parti a perdu trois sièges par rapport aux élections d’avril.
En revanche et en pleine crise catalane, le parti d’extrême droite Vox est devenu la troisième force politique du pays et a plus que doublé son nombre de sièges (52contre 24 en avril). Son chef, Santiago Abascal, a promis une main ferme contre les séparatistes catalans et a dénigré l’islam et les migrants. Ni un bloc de gauche (PSOE, Podemos et sa liste dissidente Mas Pais) ni une alliance des droites (PP, Vox et Ciudadanos) n’ont obtenu la majorité absolue de 176 sièges sur 350.
Les résultats de dimanche signifient que l’impasse entre les forces de droite et de gauche en Espagne ne prendra pas immédiatement fin, ce qui implique que le pays pourrait passer plusieurs semaines, voire plusieurs mois, sans un nouveau gouvernement.
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