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Les États-Unis menacent d’opposer leur veto à une résolution des Nations unies sur la lutte contre l’utilisation du viol comme arme de guerre, en raison de son langage sur la santé génésique et sexuelle, selon un haut fonctionnaire des Nations unies et des diplomates européens.
La mission allemande espérait que la résolution serait adoptée lors d’une session extraordinaire du Conseil de sécurité de l’ONU mardi dernier sur la violence sexuelle dans les pays en guerre.
Mais le projet de résolution a déjà été privé d’un de ses éléments les plus importants, à savoir la mise en place d’un mécanisme formel pour surveiller et signaler les atrocités, à cause de l’opposition des États-Unis, de la Russie et de la Chine, qui se sont prononcés contre la création d’un nouvel organe de surveillance.
Même après que le mécanisme formel de suivi ait été retiré de la résolution, les États-Unis menaçaient encore de contester la version allégée, car elle contient des dispositions pour le soutien des victimes dans les cliniques de planification familiale.
Au cours des derniers mois, l’administration Trump a adopté une attitude ferme, refusant d’accepter tout document de l’ONU faisant référence à la santé sexuelle ou reproductive, sous prétexte que ce langage implique un soutien pour les avortements. Elle s’est également opposée à l’utilisation du mot « genre », le considérant comme une couverture pour la promotion libérale des droits des transgenres.
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