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La qualité de l’air dans la capitale indienne s’est dégradée davantage ces derniers jours. En effet, l’indice de la qualité de l’air de la ville, qui mesure la concentration de particules toxiques, a atteint 388 ce vendredi 25 octobre, visiblement au-dessus de la moyenne (60). L’indice représente la concentration des particules fines et toxiques connues sous le nom de PM2.5. Ces particules ont un diamètre inférieur à 2,5 micromètres et peuvent se loger au fond des poumons, causant ainsi des inflammations et endommageant les tissus, ce qui conduit au développement de maladies mortelles, notamment des cancers et des problèmes cardiaques. Selon de hauts responsables gouvernementaux anonymes cités par Reuters, la principale raison de la détérioration de la qualité de l’air est la faiblevitesse du vent.
Si la pollution de la capitale s’élève déjà à des niveaux nocifs, elle devrait atteindre des pics après la fête des Lumières hindoue de Diwali, célébrée cette année le dimanche 27 octobre. L’année dernière, la Cour suprême avait autorisé l’utilisation de « pétards sécurisés et écologiques », pendant maximum deux heures, et uniquement dans des zones spécifiques comme les parcs, afin de réduire les risques qu’ils présentent pour la santé. Cependant, les autorités n’ont pas réussi à faire respecter le décret et despétards ont continué à exploser tard dans la nuit. En conséquence, les concentrations de PM2.5 dans certaines parties de la ville ont grimpé à 689 le lendemain.
Afin d’éviter qu’une telle situation ne se reproduise, les autorités de New Delhi proposent à la population des spectacles de lumière laser pour fêter Diwali ce week-end. Plusieurs autres mesures destinées à atténuer la terrible pollution atmosphérique ontété adoptées à New Delhi, notamment l’interdiction des camions, la combustion des déchets et la mise en place d’une cellule de crise.
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