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La police a ouvert une enquête sur l’affaire lorsque les parents de deux étudiants de la mosquée, un garçon et une fille, ont porté plainte contre le pédophile présumé. Selon les témoignages des enfants et de leurs parents, le Fqih a forcé ses étudiants à se livrer à des activités sexuelles en recourant à la violence. Le père d’une des victimes a constaté une dégradation de la santé mentale de sa fille, âgée de 12 ans, et son refus de se rendre à la mosquée où elle apprenait le Coran. Après lui avoir demandé avec insistance, la victime a dit à son père que le Fqih la forçait à « toucher et à embrasser ses organes génitaux ». Choqué, le père a interrogé d’autres élèvesde la mosquée qui ont confirmé qu’ils avaient également été victimes du même abus. Selon le père d’une autre victime, un garçon de 9 ans, l’érudit emmenait son fils aux toilettes et le forçait à « toucher ses organes sexuels ».
Selon les articles 484 à 487 du Code pénal marocain, la peine pour l’abus sexuel sur des mineurs est de deux ans à trente ans d’emprisonnement, en fonction des éléments de preuve, de la gravité des actes commis et des relations entre l’auteur et la victime. Bien que la loi soit stricte dans ce type d’affaires, elle n’est pas toujours facile à appliquer, principalement en raison du manque de preuves.
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