Le mardi 15 octobre, Said Amzazi a pris la parole lors des séances hebdomadaires des questions orales de la Chambre des conseillers. Interrogé sur l’état actuel et sur l’avenir des écoles publiques marocaines, Amzazi a déclaré que « cette année, plus de 52 000 des 700 000 élèves qui ont été inscrits dans des établissements privés les ont quittés pour retournerdans lesécoles publiques », indique le quotidien arabophone Al Akhbar dans son édition du jeudi 17 octobre.
Le ministre a déclaré que, alors que les parents marocains sont traditionnellement reconnus pour préférer les écoles privées, cette tendance inhabituelle révèle un « regain de confiance »au profitdu système éducatif public du royaume. Selon Amzazi, ce changement témoigne de l’amélioration des normes dans les institutions publiques du pays et signifie qu’elles retrouvent « progressivement » leur réputation postcoloniale.
Le ministre a également indiqué que « les augmentations successives des frais de scolarité de l’enseignement privé » pourraient être l’une des causes de ce changement. « Actuellement, on procède à l’actualisation du cadre juridique régissant le secteur privé, notamment, en ce qui concerne la fixation et la révision des frais de scolarité, d’inscription et d’assurances. Et ce, conformément à des normes qui seront déterminées par des textes de loi », a-t-il affirmé.
Pour donner un sens à ce qu’Amzazi considère comme une tendance encourageante, son ministère alancé une étude nationale, dont les résultats seront bientôt dévoilés, pour explorer les raisons sous-jacentes de ce changement. Cette étude prospective, selon des sources informées sur sa portée et son contenu, cherche à répondre à des questions telles que : « Pourquoi plusieursélèves fréquentent-ils des écoles publiques ? », ou « Qu’est-ce qui inciterait un parent à opter pourune école publique plutôt qu’uneécole privée ? ».
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