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La CGEM a tenu hier, lemercredi 16 octobre, une réunion d’échanges et de concertation. Un rendez-vous qui a connu la participation de 33 des 72 membres de droit de son Conseil d’Administration.
«Les administrateurs présents ont remercié le président sortant Salaheddine Mezouar pour le travail qu’il a effectué avant d’exprimer leur volonté d’assurer la période de transition dans un esprit d’unité, de responsabilité et de continuité, dans l’intérêt du secteur privé», souligne un communiqué de la CGEM.
À l’issue de cette rencontre, il a été convenu par l’ensemble des administrateurs présents de tenir le Conseil d’Administration le lundi 28 octobre 2019. Lors de cette réunion, deux solutions de vote seront soumises au conseil. Élire une personne par intérim ouopter pourun comité provisoirequi se chargerade gérerla période de transition.
« La première solution n’a pas eu l’adhésion de la majorité, par contre la majorité irait vers un comité de transition composé des quatre corps de la CGEM, c’est-à-dire un président de fédération, un président de commission, un président de région et un membre du groupe parlementaire », déclare Saloua Karkri Belkeziz, présidente de l’APEBI et membre de droit au Conseil d’administration du patronat à Medias24.
Hormis l’organisation de nouvelles élections, Challenge révèle que cette journée du 28 octobre traitera de la gestion des affaires courantes et de gouvernance, ainsi que les propositions de la CGEM concernant le projet de Loi de Finances 2020.
Pour rappel, ce conseil d’administration intervient à la suite de la démission du président du patronat Salaheddine Mezouar. Ce dernier a été rappelé à l’ordre par un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le ministère a qualifié ses déclarations sur la situation politique en Algérie, lors de la World Policy Conférence organisée le week-end dernier à Marrakech, d’«irresponsables, maladroites et irréfléchies».
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