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La loi oblige Johnson à demander une prolongation pour le Brexit à la fin de cette semaine, à moins qu’il n’arrive àconclure d’ici là un accord avec l’UE. La possibilité d’un accord a refait surface après des mois d’impasse et à l’approche de l’échéance du 31 octobre. Après leur rencontre le jeudi 10 octobre, dans une déclaration commune publiée au sujet de leurs discussions sur la frontière irlandaise, Johnson et son homologue irlandais, Leo Varadkar, ont affirmé qu’ils sont sur « la voix d’un accord ». Toutefois, les diplomates ont indiqué ce lundi 14 octobre qu’il est improbable qu’un compromis soit signé cette semaine.« Il reste beaucoup de travail à faire » pour sortir de l’impasse, a estimé dimanche Michel Barnier, négociateur de l’UE sur le Brexit.
Les moments clés de cette semaine :
Ce lundi 14 octobre, alors que les négociations se poursuivent à Bruxelles, la reine Elizabeth II a prononcé un discours, écrit par Boris Johnson, à l’occasion de l’ouverture de la nouvelle session parlementaire, soulignant un ensemble de propositions, notamment 26 projets de loi portant sur plusieurs sujets.Ces projets de loi incluent « sept législations relatives au Brexit, notamment des mesures visant à établir de nouveaux cadres règlementaires pour la pêche, l’agriculture, le commerce et les services financiers, ainsi qu’un projet de loi visant à mettre fin à la liberté de circulation et à instaurer un système d’immigration à partir de 2021», selon la BBC.
Les premiers mots rédigés parJohnson concernaient le Brexit. « La priorité de mon gouvernement a toujours été d’assurer la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne le 31 octobre. Mon administration prévoit de travaillersurle lancementd’un nouveau partenariat avec l’Union européenne sur la base du libre-échange et d’une coopération amicale », a lu la Reine devant les deux chambres réunies.Malgré les incertitudes persistantes liées au Brexit, le Premier ministre, quia déclaré que son gouvernement avait pour objectif « de saisir les opportunités offertes par le Brexit », a présenté son programme de politique nationale mettant l’accent sur son intention de procéderau divorce le 31 octobre.
Le mardi 15 octobre, les ministres des Affaires étrangères et européennes se rencontreront au Luxembourg, en présence de Michel Barnier, pour une réunion consacrée au Brexit. Deux jours plus tard, le Conseil européen rassemblant les chefs d’État et de gouvernement entamera le jeudi 17 octobre. Le samedi 19 octobre, Johnson devrait soit présenter un accord sur le Brexit soutenu par l’UE ou présenter ses prochaines étapes. Selon les termes de la loi Benn, Johnson devrait écrire une lettre à l’UE demandant une prolongation si le Parlement n’a pas approuvé un accord avant 23 heures. (The Guardian)
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