C’est le genre de sujet qui passionne le grand public et suscite divers commentaires. Depuis le remaniement, ce que coûte les ministres aux contribuables occupe l’actualité, en attendant des développements sur le projet de loi de finances. Le train de vie de l’Etat est régulièrement critiqué et pour montrer l’exemple, l’équipe gouvernemental a été resserré. Il y a donc moins de ministres et de secrétaire d’Etat que dans le précédent gouvernement, ce qui suppose moins de dépenses.
La rémunération en détail
Un ministre gagne émarge à 60.000 DH par mois et un secrétaire d’Etat à 50.000 DH. Cette rémunération est composée de plusieurs éléments. Les deux bénéficient d’une indemnité de logement de 15.000 DH et une indemnité représentative de frais de 5.000 DH. La rémunération mensuelle forfaitaire d’un ministre est de 26.000 DH à laquelle s’ajoute une indemnité de représentation de 14.000 DH. Pour le secrétaire d’Etat, c’est respectivement 20.000 DH et 10.000 DH. Par ailleurs, chaque ministre bénéficie de deux voitures de fonction. Le secrétaire d’Etat en a droit à une.
Le coût des ex-ministres
Les ex-ministres coûtent aussi de l’argent aux contribuables. En dehors de l’indemnité de départ, ils pourront toucher une retraite plutôt confortable par rapport à la retraite moyenne des marocains. En revanche, la retraite à vie est une légende. Le versement d’une pension à un ex-ministre cesse lorsqu’il retrouve un job dont la rémunération dépasse le montant de la pension.
Un sacrifice financier par rapport au privé
Si tout travaille mérite salaire, le niveau de rémunération des ministres est à relativiser. Dans l’équipe actuel, il y a des chefs d’entreprises, des personnes qui ont dirigé de grands groupes et des chirurgiens de renom. Autrement dit, ils peuvent prétendre à des émoluments bien plus élevés dans le secteur privé. Certes, il y a des avantages qui n’apparaissent pas dans la rémunération des ministres et qui est difficilement quantifiable. Mais, la volonté de servir le pays est une préoccupation bien plus haute que les avantages liés au poste de ministre. Par contre, la bagarre pour les postes dans les cabinets ministériels relève d’une autre analyse.
12-18 décembre : le déficit de liquidité bancaire se creuse de 2,4%
Économie - Le déficit de liquidité bancaire au Maroc s'est creusé de 2,4%, atteignant 138,9 milliards de dirhams.
Rédaction LeBrief - 20 décembre 2024Délais de paiement : l’amende réajustée au nouveau taux directeur
Économie - La Direction générale des Impôts (DGI) a annoncé que les factures dont le délai de retard du paiement commence à partir du 1er décembre 2024, sont passibles d’une amende pécuniaire fixée au nouveau taux directeur (TD) de Bank Al-Maghrib (BAM).
Mbaye Gueye - 20 décembre 2024Casablanca-Pékin : RAM relance sa liaison directe
Économie - La RAM relancera sa ligne directe Casablanca-Pékin dès le 20 janvier 2025, ce qui renforce des liens entre le Maroc et la Chine.
Ilyasse Rhamir - 20 décembre 2024Essaouira : Akhannouch préside le développement de la station Mogador
Économie - Akhannouch a présidé à Essaouira une cérémonie de signature d’une convention pour le développement de Mogador.
Rédaction LeBrief - 20 décembre 2024Blé tendre : le Maroc renforce son alliance avec la Russie
Économie - Le Maroc a décidé de maintenir le soutien gouvernemental pour l’importation de blé tendre jusqu’à fin avril 2025.
Ilyasse Rhamir - 20 décembre 2024La loi de Finances 2025 publiée au Bulletin officiel
Économie - La loi de Finances 2025, promulguée par le Dahir n° 1-24-65 du 13 décembre 2024 a été publiée dans le Bulletin officiel.
Mbaye Gueye - 19 décembre 2024Le commerce extérieur au vert, malgré un déficit croissant
Économie - Bank Al-Maghrib (BAM), a révélé que les exportations de biens marocaines ont connu une hausse de 6,2% à fin octobre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente.
Mbaye Gueye - 19 décembre 2024Les OPCVM atteignent 663,3 MMDH d’actifs nets à fin novembre 2024
Économie - Une hausse de 18,5% depuis le début de l’année, selon le rapport de la politique monétaire publié par Bank Al Maghrib.
Rédaction LeBrief - 19 décembre 2024Banque mondiale : le spectre d’une imminente crise de la dette
Économie - Dans son nouveau rapport sur la dette internationale, la Banque mondiale alerte sur le risque de surendettement des pays pauvres.
Manal Ben El Hantati - 12 décembre 2022Driss Guerraoui primé à Barcelone
Économie - Le professeur Driss Guerraoui, président de l’Université Ouverte de Dakhla, a reçu le Prix international du leadership en intelligence économique pour l’année 2024.
Ilyasse Rhamir - 6 décembre 2024CNT : Hamid Bentahar réélu
Économie - Hamid Bentahar se voit réélu pour un mandat de 3 ans à la tête de la CNT et Othman Ibn Ghazala élu vice-président générale.
Ilyasse Rhamir - 30 septembre 2024Guercif-Nador : une autoroute pour 5,5 MMDH
J.R.Y - 21 mai 2021HCP : la croissance de l’économie nationale devrait augmenter au T1-2023
Économie - Selon les projections du HCP, la croissance de l’économie nationale s’est située à 1,4% au dernier trimestre de 2022.
Rédaction LeBrief - 3 janvier 2023Budget 2025, réforme sociale : les annonces de Younes Sekkouri
Économie - Avec une enveloppe budgétaire globale de 14 milliards de dirhams, le ministère ambitionne de relever plusieurs défis, notamment dans les domaines de l’emploi et du soutien économique.
Rédaction LeBrief - 30 novembre 2024Bank Al-Maghrib prépare le lancement du marché secondaire des créances en souffrance
Économie - Bank Al-Maghrib (BAM) s'apprête à révolutionner le secteur bancaire marocain en mettant en place un marché secondaire des créances en souffrance.
Farah Nadifi - 29 novembre 2024