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L’accord, qui devrait être signé le mois prochain, forcera ces entreprises à partager des informations confidentielles afin de faciliter les enquêtes sur des personnes soupçonnées d’infractions pénales graves, notamment de terrorisme et de pédophilie, a déclaré le responsable.
Cet accord, qui marque l’aboutissement de quatre années de pression intense de la part du Royaume-Uni, est considéré par Downing Street comme un outil essentiel dans la lutte contre le terrorisme et les abus sexuels. Les demandes devront, toutefois être approuvées par un juge, un magistrat ou une autre « autorité indépendante ».
À l’instar de nombreux autres progrès de la technologie de la communication, les réseaux sociaux ont un bon et un mauvais côté en ce qui concerne leurs relations avec la justice pénale et le droit. Ces plateformes ont ainsi créé de nouvelles possibilités permettant aux agences de justice pénale de résoudre des crimes, mais présentent des risques pour de nombreux utilisateurs, en particulier les jeunes.
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