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Le quotidien arabophoneAl Ahdath Al Maghiriya souligne dans son édition du lundi 30 septembre que la démission a été déposée samedi matin, mais qu’elle ne prendra effet qu’après l’approbation du ministère de l’Intérieur. Selon la même source, El Omari aurait été victime d’un blocage initié depuis plusieurs mois par le RNI, l’USFP et l’UC. Ces derniers auraient boycotté toutes ses réunions du conseil régional et refusent de coopérer.
Un bon nombre d’alliés lui auraient tourné le dos, à l’image de la directrice de l’Agence régionale d’exécution des projets qui a refusé d’annulerla réunion de la commission de suivi. Les membres de son parti lui ont également reproché de faire la cour au PJD, souligne Al Ahdath.
De son côté, Al Akhbar indique que la majorité s’est désolidarisée avec lui et que le Wali de la région a rejeté l’ordre du jour de la session ordinaire du 7 octobre, sous prétexte qu’il a été présenté hors délai. El Omari aurait également été interdit de se rendre en Chine dans le cadre du programme de coopération liant les deux pays.
Le vendredi 27 septembre, El Omari aurait demandé à rencontrer le Wali pour connaître les raisons de ces blocages. Cette réunion n’a finalement pas eulieu. Le lendemain, El Omari dépose sa démission. «Il a préféré déposer sa démission que de se voir démis de ses fonctions», commente Al Massae. La réaction de l’ancien responsablea été anticipée, et ce à cause de l’escalade destensions qui existaient entre lui et ses alliés.
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