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Le porte-parole du gouvernement Ali Rabiei a également indiqué que le président Hassan Rouhani pourrait s’entretenir avec son homologue américain Donald Trump si cela servirait les intérêts de l’Iran, tout en rappelant que dans les circonstances actuelles il est déconseillé de négocier avec un « agitateur ».
Rouhani a échangé une série d’appels téléphoniques avec le président français Emmanuel Macron ces dernières semaines dans le but de sauver l’accord nucléaire historique de 2015 entre l’Iran et les puissances mondiales.
Le dirigeant français a essayé de convaincre les États-Unis d’offrir à l’Iran un allègement des sanctions imposées à la République islamique depuis le retrait américain de l’accord en mai 2018.
Les arches-ennemies étaient sur le point de s’affronter en juin lorsque l’Iran a abattu un drone américain et que Trump a ordonné des frappes de représailles contre l’Iran avant de les annuler à la dernière minute.
La situation s’est quelque peu calmée depuis, Macron exprimant son espoir lors du sommet du G7 d’organiser une rencontre entre Rouhani et Trump.
Rouhani a écarté la possibilité d’une réunion, affirmant que les Américains devaient d’abord lever toutes les sanctions contre l’Iran.
Mais le porte-parole de son gouvernement a laissé entendre ce lundi qu’une telle réunion pourrait encore avoir lieu si elle allait de pair avec les intérêts de l’Iran.
Selon l’agence de presse iranienneIRNA, « il n’y a aucune raison pour que le président rencontre un agitateur et un terroriste économique en cette période de crise ».
L’Iran a riposté avec des contre-mesures en réponse au retrait américain de l’accord nucléaire, qui lui a permis d’échapper aux sanctions en échange de la réduction de son programme nucléaire.
Elle a menacé, vendredi dernier, de prendre une troisième mesure pour réduire ses engagements vis-à-vis de l’accord, après avoir déjà augmenté ses activités d’enrichissement et de stockage d’uranium.
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