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Les mesures se multiplient à l’international depuis le 24 février pour tenter de stopper les velléités de Vladimir Poutine sur le territoire ukrainien. Aux sanctions prononcées par l’Union européenne de gel des avoirs de la Banque centrale russe, notamment, ont succédé les fermetures d’enseignes comme McDonald’s, Starbucks, Ikea ou Apple. Au total, ce serait près de 300 entreprises fortement implantées en Russie qui auraient décidé leur retrait.
Sur le papier, l’effet est massif. Depuis l’Europe, on imagine un retour pour le pays aux plus sombres années de l’ère soviétique, avec ses files d’attente devant des magasins aux rayons vides. Pourtant à Moscou, la vie semble suivre son cours. Les habitants font toutefois toutes les réserves possibles, mais dans une ville qui ne connaît pas de pénuries. On ne peut déjà plus retirer de devises ou faire d’achats avec une carte Visa ou MasterCard, y compris en ligne. L’inflation, déjà forte avant, s’est accentuée.
Dans La Story, le podcast d’actualité des Échos, Pierrick Fay et ses invités font le point sur les conséquences de ces mesures, à court et moyen termes, dans un pays que la richesse en hydrocarbures rend résilient dans l’immédiat.
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