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C’est un constat sans appel fait par laConfédération marocaine de TPE-PME sur l’accompagnement et le soutiendes TPE PME ainsi qu’aux nouveaux programmes du nouveau gouvernement après 100 jours de son exercice. La Confédération présidée par Abdellah El Fergui note tout d’abord quel’expérience de l’ancien gouvernement de Benkirane se produit avec la création d’un ministère des petites entreprises (PE)sans aucun programme concret, ni vision, ni moyens pour venir en aide aux millions des TPE-PME etautoentrepreneurs qui constituent plus de 95% du tissu économique du Maroc et qui sont les premiers employeurs du Royaume.
« La majorité de ces entreprises sont fragilisées et menacées de faillite à cause de la négligence des pouvoirs publics et faute d’accompagnement », regrette la Confédération. Elle observe aussi que le nouveau gouvernement veut exclure des millions des TPE et autoentrepreneurs des services de ‘l’Agence nationale de soutien aux petites et moyennes entreprises (Maroc PME) sans aucune alternative.
Quant au programme Intelaka, la Confédération marocaine de TPE-PME « constate aussi avec regret le retard du programme et l’insatisfaction des résultats de ce programme à travers les nombreuses plaintes ainsi que le retard dans le traitement des dossiers qui ont atteint dans certains cas plus de 18 mois. Sans parler du nombre important de projets qui ont été rejetés sans aucun justificatif.
La Confédération lance aussi plusieurs appels à Aziz Akhannouch pourcontraindre le secteur public et les grandes entreprises privées contractantes à payer les créances des très petites, petites et moyennes entreprises, estimées 400 milliards de DH (MMDH) alors que ces TPE-PME se financent généralement hors du secteur bancaire soit à travers des réseaux personnels et familiaux.
Enfin, la Confédération par la voix de son président appelle le gouvernement Akhannouch à ouvrir un dialogue pour suivre les dossiers entamés avec son prédécesseur,alléger les procédures de contrôle aux différents points situés aux entrées des villes et dans les différents axes routiers et accélérer la digitalisation de l’administration.
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