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Un professeur d’université a été reconnu coupable « d’attentat à la pudeur », de « violence » et de « harcèlement sexuel », dans le cadre de l’affaire connue sous le nom « sexe contre bonnes notes ». Cet enseignant en sciences économiques à Settat a écopé de deux ans de prison ferme. Le mis en cause, qui était en détention préventive, a bénéficié d’une renonciation de suivi judiciaire, exprimée par l’une des plaignantes en échange d’un chèque de 70.000 dirhams.
Il s’agit du premier verdict prononcé dans le cadre de cette affaire qui a secoué l’université de Settat. Quatre autres professeurs d’université, dont deux sont en liberté provisoire, doivent comparaître ce jeudi 13 janvier dans le cadre du même scandale. Ils sont poursuivis pour de lourdes charges : « incitation à la débauche », « discrimination fondée sur le genre », « violence contre des femmes ».
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