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Le ministre iranien du renseignement a déclaré que Téhéran et Washington ne pourraient tenir des pourparlers que si les États-Unis mettaient fin à leurs sanctions et après l’approbation de la plus haute autorité iranienne, l’ayatollah Ali Khamenei, a rapporté jeudi l’agence de presse nationale IRNA.
Trump a déclaré le mois dernier qu’il avait avorté une frappe militaire contre l’Iran, qui avait abattu un drone américain sans pilote au-dessus du détroit d’Ormuz le 20 juin dernier, car il aurait pu tuer 150 personnes, et il a indiqué être disposé à s’entretenir avec Téhéran.
Téhéran a déclaré que le drone de surveillance avait été abattu par un missile sol-air iranien au-dessus du sol iranien, tandis que Washington affirme qu’il était dans l’espace aérien international.
La tension s’est intensifiée entre Téhéran et Washington depuis l’année dernière, lorsque Trump a mis fin à un accord nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et six puissances, et a réimposé les sanctions qui avaient été annulées par le Pacte, en échange du contrôle des activités nucléaires sensibles de Téhéran.
Aux termes de l’accord, l’Iran peut enrichir de l’uranium jusqu’à 3,67 % de matières fissiles, soit bien en dessous des 20 % qu’elle avait atteints avant l’accord et loin des 90 % nécessaires à la production d’une arme nucléaire.
En réaction aux sanctions américaines, qui ont ciblé sa principale source de revenus étrangers notamment les exportations de pétrole brut, l’Iran a déclaré en mai qu’elle ne respecterait plus certains aspects de l’accord.
La première violation majeure de Téhéran du pacte nucléaire a été l’accumulation, ce lundi, d’uranium faiblement enrichi.
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