Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Six personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées ce jeudi 14 octobre à Beyrouth, lorsque des violences ont éclaté après un rassemblement de manifestants chiites exigeant le retrait du juge Tarek Bitar, chargé d’enquêter sur l’explosion dévastatrice du port de la capitale l’année dernière. Les mouvements chiites Amal et Hezbollah, qui ont organisé la protestation devant le Palais de justice, ont accusé le parti chrétien des Forces libanaises (FL) d’avoir provoqué le chaos en ouvrant le feu sur la foule de manifestants.
Les FL ont fortement contesté toute implication dans la fusillade de jeudi et ont affirmé que ce sont les partisans du Hezbollah qui ont envahi des quartiers interdits d’accès lorsque les affrontements se sont exacerbés. Ce vendredi, une forte présence de l’armée libanaise a été constatée dans les rues de Beyrouth, dans la crainte d’une nouvelle escalade de violences lors des funérailles des six victimes. Le pays a en plus observé un jour de deuil déclaré par la présidence.
De leur côté, la France, les États-Unis et les Nations Unies ont lancé un appel à la désescalade, mais ont également insisté sur la nécessité de poursuivre sans entrave l’enquête sur l’explosion du port. La Russie s’est déclarée vendredi «extrêmement préoccupée» par les tensions accrues au Liban et a appelé toutes les parties à «faire preuve de retenue».
Temps de lecture : 2 minutes
Harris ou Trump : l’Amérique face à un choix historiqueLes États-Unis vivent un jour d’élection décisif ce 5 novembre, opposant Kamala Harris et Donald Trump pour une place historique à la Maison… |
Espagne : les recherches se poursuivent six jours après les inondationsSix jours après les inondations, le bilan s’élève à 217 morts. Ce chiffre pourrait être revu à la hausse puisque certains habitants manquent… |