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En 2007, le Congrès national ittihadi (CNI) a fondé avec le Parti socialiste unifié (PSU) et le Parti de l’avant-garde démocratique et socialiste (PADS) l’Alliance de la gauche démocratique (AGD) qui est devenu par la suite la Fédération de la gauche démocratique (FGD). Toutefois, suite au retrait du PSU de cette alliance, les deux autres partis de gauche ont créé la Coalition de la fédération de gauche (CFG) pour unir leurs forces lors des élections générales du 8 septembre 2021.
Programme électoral
Le programme de la CFGvise une réforme globale et profonde, a indiqué Abdessalam Laâziz, le coordinateur de la coalition, qui est également secrétaire général du CNI. À travers ce programme, le CNI (socialisme scientifique) et le PADS (socialisme démocratique) veulent rompre avec certaines pratiques qui entravent la mise en œuvre du modèle de développement et la réalisation du décollage économique nécessaire pour un développement global et durable.
Pour sa part, Ali Boutouala, le secrétaire général du PADS, a souligné que le programme de la coalitionvise en premier lieu la réforme du cadre politique et institutionnel en tant que condition sine qua non à l’établissement de l’État de droit. Ce plan insiste sur l’alternance politique et le respect des résultats des urnes, des libertés publiques et des droits de l’Homme, la répartition de la richesse et la vie digne à tous les citoyens.
Parmi les réformes politiques, économiques, sociales, environnementales et culturelles que la CFGpropose, figurent : le renforcement des attributions du Parlement dans le domaine de la législation et du contrôle politique du rendement du gouvernement ; l’élargissement des compétences du gouvernement ; la consolidation de l’indépendance de la justice ; lamodernisation de l’administration publique ; la démocratisation des médias et la mise en œuvre d’une véritable régionalisation.
S’agissant du volet économique et social, le programme met l’accent sur la nécessité de soutenir le secteur public, de renforcer le principe de l’intervention de l’État et de réunir les conditions et le climat idoinepour faciliter les investissements et promouvoir l’économie sociale et solidaire, mettre un terme à l’économie de la rente, promouvoir l’emploi et l’employabilité et renforcer le système de santé.
En ce qui concerne l’aspect environnemental et culturel, la coalitionappelle à intégrer le volet environnemental dans les politiques publiques et les stratégies sectorielles et de hisser le secteur culturel au rang d’industrie culturelle.
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